Au second semestre, nous nous demandons s’il peut être
juste, injuste, de pardonner ; en outre, si cela peut être moralement bon,
ou prudentiellement bon. Nous nous demandons aussi s’il peut y avoir de bonnes
et de mauvaises raisons de pardonner, et de quelles sortes elles peuvent être.
Nous examinons enfin quelles peuvent être les fins du pardon : bonheur,
bien-être, réconciliation, amour, paix intérieure, paix extérieure ? Ces
questions sont posées à propos du pardon interpersonnel, mais aussi à propos de
celui qui implique des institutions.