Pour
Greenberg, l'art moderne est
autoréflexive et se fixe sur son propre
médium
Il distingue high art et low art (l'art cultivé, moderne et d’avant-garde de l’art populaire, kitsch et de consommation)
Thèse : la peinture moderniste se replie sur son médium afin d’affirmer la peinture comme un art propre
C'est
l'autodéfinition ou
l'autocritiqueCela lui permet de garantir sa
pureté Dans le medium pictural, la pureté se trouve dans la planéité (
picture plane)
La peinture moderniste et abstraite, en mettant en évidence la planéité de la toile, garanti la pureté et l'autodéfinition du medium pictural
Barthes fait un essai sémiologique sur le domaine de la musique et du visible
Dans son fondement, la
sémiologie est l'étude des signes de communication, donc du langage
Barthes applique cette méthode aux signes communicationnels de la musique et de l'art plastique
En sémiologie, on distingue des signes de commu
nication le référant (objet réel), le signifiant (représentation, ex : image, mot) et le signifié (concept)
Thèse : Le Pop Art est art car c’est l’analyse critique de l’essence de l’image à l’aune de son bouleversement par les nouveaux moyens techniques.
Pop art reprend une conception classique de l’art, car il tend à signifier par le signifiant. (“What do you mean ?”)
Pop art utilise des images de la culture populaire de masse, sans être lui-même une culture de masse, puisqu’il utilise ces images en référence. C’est donc de l’art, puisqu’il pose un regard critique dessus
La facticité des images rend l’image signifiante
C'est un art ontologique (qui cherche à découvrir l’essence de l’être, plutôt que le paraître # ontique) puisque son objet est de chercher à saisir l’essence rhétorique de l’image