Première renaissance, Italie
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Composer avec la peinture : théorie de l'art, création, réception
En 1435, dans De Pictura, l’un des premiers traités de la théorie de l’art, Leon Battista Alberti entérine une poétique de la « dislocation » (Gilles Deleuze) qui structure tant la production que la réception de la peinture italienne de la Première Renaissance : « La composition est dans la peinture le procédé par lequel les parties sont disposées dans l’œuvre de peinture. […] Les parties de l’histoire sont les corps, la partie du corps est le membre, et la partie du membre est la surface. » Comment cette idée que la peinture se compose partie par partie infléchit-elle les pratiques artistiques (la giornata des muralistes, l’utilisation de cartons), le style (l’horror vacui du gothique international) ou encore la conception de l’histoire et la quête du beau idéal (d’après l’analogie entre la composition picturale et le corps humain) ? La dislocation trouve-t-elle une aussi grande place dans « l’œil du Quattrocento » (Michael Baxandall) que dans la théorie du détail que Daniel Arasse élabore face aux tableaux d’Antonello de Messine ?
Les séances ont lieu dans l'amphithéâtre de l'Institut Michelet :
- 24/09 10h30-12h
- 01/10 10h30-12h
- 08/10 10h30-12h
- 15/10 10h30-12h
- 20/10 9h-10h30
- 22/10 10h30-12h
- 05/11 10h30-12h
- 12/11 10h30-12h
- 19/11 10h30-12h
- 26/11 10h30-12h
- 03/12 10h30-12h
- 10/12 10h30-12h
- 17/12 10h30-12h
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